Voici une des questions les plus récurrentes au sein des associations : Comment trouver des fonds pour une association ? Subvention de fonctionnement ou appel à projet, collecte de dons, sponsoring, mécénat…. Le choix est vaste mais chaque option correspond à des spécificités précises. De plus, la mise en place s’avère souvent chronophage ou compliquée. Dans le but de vous aider à trouver des fonds pour votre association, cet article complète le tour d’horizon des partenariats association-entreprise. Voici aujourd’hui, un dossier sur le micro-don ou arrondi solidaire pour le développement de la vie associative.
Le principe du micro-don ou arrondi solidaire
Tous les présidents d’association le savent : Trouver des fonds pour une association est un VRAI challenge pour financer la cause pour laquelle on œuvre. Et cela, quel que soit le projet associatif, la taille de l’équipe, le nombre d’adhérents ou de bénéficiaires de l’association.
Bien sûr, chacun remplit des dossiers. D’un coté des demandes pour solliciter des subventions publiques. Et de l’autre, de la prospection pour obtenir le soutien financier de structures privées. Les sommes récoltées ainsi complètent dans la trésorerie associative les adhésions perçues pour l’année. C’est là, que le choix de la meilleure banque pour gérer facilement les opérations financières s’avère primordial. Mais le mieux, c’est quand même de trouver une source de revenus « extérieurs », auprès du public. Pour exemple, pensez aux produits de vente ou les campagnes de collecte de dons . Et là, les partenariats marquent la différence !
Solliciter quelques dons importants ou au contraire jouer la carte de la multiplicité? Dans ce dernier cas, le cumul de très nombreuses petites sommes atteint un montant total conséquent. Et un « petit quelque chose », tout le monde ou presque peut se le permettre. C’est le principe du micro-don.
Désormais cette économie sociale s’intègre aux actes de la vie courante. De sorte que la générosité du public permet à chacun de soutenir concrètement une action philanthropique sans aucun mal. Même un simple don par SMS trouve son utilité sociale.
Exemple historique de micro-don: les timbres pour la Croix Rouge
Un partenariat solidaire ancien: la Poste édite des timbres solidaires. C’est à dire, des timbres surtaxés au bénéfice de la Croix Rouge Française. Un accord national de cette ampleur est une chance que peu d’associations à but non lucratif ont la chance d’obtenir. La Croix-Rouge, association d’ampleur nationale et internationale, mérite bien un soutien à l’échelle de sa présence et de son implication sociale et solidaire. Une entreprise de service public comme la Poste française aide la Croix-Rouge dans la mesure de ses compétences et de sa mission historique: la vente de timbres.
En effet, acheter un timbre postal est un acte courant dont il est difficile de se passer. On doit au moins répondre aux courriers de l’administration. Déjà qu’on n’a pas envie de leur écrire, alors encore moins envie de coller un beau timbre sur l’enveloppe. Certes, mais néanmoins, pas la peine de punir une secrétaire qui s’en fiche. Alors consolons-nous par une bonne action !!
Comment trouver des fonds pour cette association ?
La Croix-Rouge Française bénéficie depuis très longtemps du soutien de la Poste (enfin les PTT, autrefois !). Chaque année de magnifiques timbres solidaires, surtaxés, sont émis dans un objectif de collecte en faveur de l’association. Dans ce cadre, le principe est simple : vous achetez un carnet de timbres qui vous servent vraiment pour votre courrier. Mais le prix compte un petit supplément, qui, lui, est versé à la Croix-Rouge pour l’aider dans ses actions.
Bien sûr, pour cela l’étape « collage de timbres » est indispensable. Si le/la préposé(e) au guichet affranchit votre lettre ou votre colis, c’est foutu : une étiquette moche imprimée vite-fait, suivie d’un coup de tampon encreur. Vous ratez votre chance de réaliser une B.A. ! Pareil dans les entreprises équipée d’une machine automatique qui affranchit le courrier en série sans état d’âme.
Faire un don est un acte de solidarité… Notez « solidarité » certes mais aussi « ACTE » : c’est à vous d’agir !
Trouver des fonds à une association au quotidien
D’autres structures ont su trouver des fonds pour une association par la méthode du micro-don sans en avoir l’air. Là aussi le cumul des petits gestes du quotidien gagne.
Je parle des collectes de bouchons, plastiques ou lièges, des piles, des cartouches etc….autant de micro-dons matériels. Ensuite, l’association bénéficiaire valorise ces dons en les revendant à une entreprise de recyclage. Ce qui à la base est un geste écologique pour nous tous, se transforme en micro-don . Cette méthode permet de trouver des fonds pour l’association de manière indirecte.
A titre d’exemple, une tonne de bouchons plastiques rapporte environ 250 euros à l’association qui les collecte. Oui, vous avez bien lu : 250€ pour une tonne ! Soit combien pour chaque bouchon ??
Arrondi solidaire : Qui sont les donateurs ?
Le soutien de la Poste à la Croix-Rouge française ne se limite pas à l’émission de timbres solidaires de collection pour trouver des fonds à l’association. Une collaboration globale est mise en place avec l’association-partenaire. Mais aussi directement auprès de ses bénéficiaires.
Ce bonus s’inscrit parfaitement dans la démarche de partenariats association-entreprise autour d’un service professionnel. Les entreprises sont donatrices au bénéfice de l’association avec laquelle elles collaborent.
=== Verser un pourcentage de ses ventes
=== Employer le personnel d’un ESAT
=== Offrir des articles artisanaux à une vente aux enchères caritative
Comme nous venons de le voir avec l’exemple de la Croix Rouge, la Poste n’est pas la donatrice dans le cadre du micro-don sous forme de timbres. D’ailleurs, cette entreprise sociale a ses propres actions solidaires. Entre autres elle finance et gère l’association citoyenne « Amitié » de lutte contre les addictions de ses employés. Cette mission agit contre les méfait du fameux « petit verre » offert au postier !
En effet, le micro-don implique que l’entreprise soit la structure coordinatrice de l’action. Pourtant, elle ne participe pas forcément à la collecte pour trouver les fonds à l’association bénéficiaire. Notez surtout que l’entreprise solidaire ne reçoit ou prélève aucune commission sur les sommes collectées. L’argent collecté est intégralement reversé à l’association caritative. Le micro-don est proposé aux clients ou aux employés sans être imposé, sur le principe du bénévolat. Le grand public reste donc le donateur ciblé.
Les différentes formes de micro-dons
Outre le cas du supplément au prix, le micro-don prend désormais des formes multiples. Son format varie en fonction de l’entreprise coordinatrice et du public ciblé pour trouver des fonds à une association partout où c’est possible.
Passage à la caisse pour l’arrondi de paiement
Ainsi, les nouvelles technologies ont inventé l’arrondi solidaire : Lors d’un achat, au moment du passage en caisse, vous donnez plus que le prix décimal normal pour « faire un chiffre rond ». En d’autres termes, « Gardez la monnaie » en version 2.0.
Par exemple, votre achat est de 12, 78 €. Vous décidez de payer 13€.
Le commerce reversera 22 centimes de votre part à l’association avec qui il collabore.
Ce virement change à chaque achat, à chaque donateur, selon le ticket de caisse.
Le vieux concept des « pièces jaunes » mis au gout du jour du paiement par carte bancaire.
Le don de quelques centimes sans montant minimum est aussi dérisoire que symbolique pour le donateur. Le taux de participation est donc très élevé. De sorte que le cumul et la fréquence de ces micro-dons représentent au total des sommes énormes. Selon une enquête de Europe 1, la radio, sept millions d’euros ont été collectés ainsi en 2019. Le don moyen s’élevait à 25 centimes. Cette méthode pour trouver des fonds à une association est donc particulièrement efficace.
La banque propose un arrondi sur relevé bancaire
Les entreprises de service qui ne vendent donc pas de biens matériels ne sont pas en reste. Elles aident à trouver des fonds pour une association de manière innovante. Par exemple, banques et assurances enregistrent de grands flux d’argent qui ne leur appartient pas. Certaines proposent donc à leurs clients, réguliers par principe, un arrondi sur les relevés bancaires mensuels. Les centimes du solde mensuel sont retenus en faveur d’une association. Au lieu d’être ajouté au prix d’un achat, le montant du don est retiré à votre compte.
Pour bien comprendre :
Si votre solde bancaire en fin de mois est de 1623, 15 €, il est arrondi à 1623€.
La banque verse 15 centimes de votre part à son partenaire associatif.
Si vous souhaitez être plus généreux, vous pouvez demander d’arrondir à la dizaine (1620€, soit un don de 3,15€) ou à la centaine (1600€ soit un don de 23,15€). Ainsi, chaque mois, votre don change en fonction de votre solde. Petit à petit vous participez à trouver des fonds pour une association.
Le patron met en place l’arrondi de salaire
Sur le même principe, l’entreprise propose à ses employés de trouver des fonds pour une association. Avec son accord, le comptable prélève directement sur le salaire, la somme que l’employé souhaite donner en fonction de son bulletin de paie. Cette opération prend la forme d’un abonnement. Généralement l’accord est mis en place pour une année complète ou une période limitée et déterminée d’avance.
NB important!
Dans le cas d’abonnement à l’arrondi, la structure (banque ou entreprise) fournit automatiquement le reçu fiscal annuel. Ce dernier donne droit à une réduction d’impôt sur le revenu imposable selon les règles usuelles des avantages fiscaux associatifs.
Le temps plus précieux que l’argent
Le capital temps représente une forme de micro-don en entreprise qui n’est pas très courante mais souvent très médiatisée.
Mais si !!
Vous avez tous entendu parler des nombreux employés d’une multinationale ou d’une administration qui donnent un peu de leur temps de vacances pour permettre à un de leur collègue de s’occuper d’un enfant gravement malade.
Tout le monde s’émeut d’entendre ces belles histoires de solidarité humaine.
Tous les généreux participants ont tout simplement demandé un transfert de leurs congés vers leur collègue. Selon leur don, ils travailleront quelques heures ou quelques jours de plus aulieu d’être en vacances. Et le bénéficiaire, lui, reçoit son salaire comme s’il était en vacances, au-delà des semaines règlementaires, aulieu d’un sans solde pour absence.
Bien sûr, ce type de micro-don ne permet pas de trouver des fonds pour une association au sens strict du terme. Cependant, il me semblait important de l’évoquer. Une fois de plus, il nous rappelle que l’argent n’est pas le seul besoin caritatif. Parfois même, ce n’est pas le plus important.
Le capital cadeau
D’ailleurs, la dernière forme de micro-don permet aussi de construire un capital sans trouver de fond pour une association. Les premiers à l’avoir proposé sont les bistrots : une tirelire ou un arrondi en caisse finance des cafés qui seront offerts à des SDF lorsqu’ils viendront en demander.
Cette fois-ci l’entreprise garde l’argent collecté pour le transformer en vente gratuite, donc en cadeau. Il ne s’agit pas de trouver des fonds pour une association, mais de construire une cagnotte qui sera utilisée sur place.
Attention aux interprétations de mauvais esprit: le capital « café cadeau », ne signifie pas que le bistrot n’offre jamais de café sur ses propres fonds. Au contraire, l’action solidaire via le micro-don résulte souvent d’une volonté de s’engager encore plus comme entreprise solidaire. La démarche dépasse largement l’aspect financier. En effet, recevoir des SDF dans ses locaux diffuse aussi un message humanitaire très fort vis-à-vis des clients habituels.
L’abondement d’entreprise
Lorsqu’une entreprise organise une collaboration de micro-don pour trouver des fonds à une association, elle est en droit de s’en tenir à son simple rôle de collecteur. L’engagement solidaire est déjà conséquent et honorable.
Pour autant, pour aller plus loin dans leur action caritative, beaucoup d’entreprises s’engagent en tant que donateur. Elles mettent en place un abondement, selon un taux qui leur est propre.
== L’entreprise double le don financier? C’est-à-dire qu’elle donne autant que vous, en plus.
== La DRH augmente le capital temps? Ainsi, l’employé soutenu s’absentera un mois de plus que les congés offerts par ses collègues.
== Le commerçant complète le capital cadeau? Par exemple, un biscuit accompagne chaque café donné.
Mettre en place un micro-don de proximité
Vu depuis la lorgnette des bénévoles, trouver des fonds pour leur association grâce au micro-don parait facile. C’est ignorer la réalité comptable de l’entreprise qui reçoit de l’argent qui n’est pas pour elle et qu’elle reverse intégralement. L’entreprise a besoin d’extraire les sommes du micro-don de son chiffre d’affaire. Il serait dommage qu’elle paye des impôts et autres redevances sur une somme qu’elle n’a pas gagnée.
Les prestataires spécialisées en mécénat participatif apportent une aide technique précieuse. La start-up « micro-don.org », et son antenne « larrondi.org» sont pionnière en ce domaine. Leur support simplifie la mise en place d’un système viable pour tous les intervenants. Ils fournissent aussi la notice explicative pour que les structures partenaires puissent communiquer facilement auprès du public cible. De plus, ils gèrent les récépissés de dons pour les déductions fiscales. Sans compter qu’ils aident les associations dans leur prospection de partenaires.
Malheureusement, ils ne s’adressent qu’à des grosses structures:
=> Effectifs de 200 employés minimum
=> Enseigne avec 15 points de vente minimum
=> Association reconnue d’utilité publique
Je sens d’ici votre déception !!
En effet, la plupart des lecteurs du Choup-blog appartiennent à la grande famille des discrets.
=> Les petites associations dont le budget n’atteint pas le plafond minimum pour prétendre à l’agrément d’utilité publique.
=> Les solopreneurs très engagés dans le monde associatif mais sans employé, par définition
=> Les modestes prestataires qui aimeraient tant aider à trouver des fonds pour les associations avec lesquelles ils travaillent.
Restez !!
Si vous n’êtes pas éligibles pour la cette solution clef en main, je vous propose des alternatives, tout droit sorties de ma boite à idées. Voici des pistes adaptées au monde associatif des discrets. Elles s’appuient sur la cohésion sociale et les associations locales
Solution de proximité pour trouver des fonds à une petite association
Rien n’est un réel problème quand on est déterminé et créatif. Il est évident, qu’avec un peu de bonne volonté et beaucoup de conviction, des solutions simples sont envisageables pour trouver des fonds pour une association.
Vous savez à quel point je milite en faveur du commerce de proximité. Je suis convaincue de la nécessité pour les associations de se fournir localement. De cette façon, vous entretenez de bonnes relations avec les petits artisans. Si vous avez déjà réalisé ce travail d’image de marque, la suite va vous paraitre une évidence. Sinon, il vous faudra rattraper le retard avant d’aller proposer un partenariat micro-don.
Les solutions que je vous propose prennent toutes en compte vos besoins associatifs in-fine. En effet, la plupart du temps, vous voulez trouver des fonds pour votre association. Mais en vérité, ce n’est pas l’argent lui-même qui vous intéresse. Cet argent vous servira pour payer quelque chose de précis : des repas à des SDF, des jouets à des enfants abandonnés, des croquettes à des animaux maltraité etc…
Alors visez la première intention! Gagnez une étape, et mettez en place un micro-don chez le professionnel qui vous fournira ce dont vous avez besoin. La cohérence entre votre mission associative et son activité professionnelle sont des arguments tant auprès de l’entreprise que du public.
Un achat quotidien à prix rond
Il sera plus simple pour l’entreprise de créer un pack solidaire prédéfini, c’est-à-dire sur un produit précis. En fin de journée, le compte de packs-solidaires vendus lui permettra de séparer tout de suite la somme rentrant dans son chiffre d’affaire et celle revenant à l’association.
=> La baguette de pain à 1€ constitue un capital sandwich pour une association de maraude
=> Le journal à 2 ou 3 € paye des livres à une association de soutien scolaire
=> L’arrondi sur le vaccin antirabique finance la stérilisation des chats errants
Le cadeau de proximité en toute simplicité
Je vous propose de reprendre le principe des collectes de la Banque Alimentaire. Dans ce cas, chaque donateur prend un ou des articles en plus des achats dont il a besoin, puis en sortant il le donne pour l’œuvre caritative. En fait, il n’est pas question de trouver des fonds pour une association, au sens financier du terme pourtant c’est déjà du micro-don !
Plutôt que de chercher une entreprise qui offre une palette de boites de conserve, ou de faire une collecte auprès du public pour trouver les fonds nécessaire à l’achat de ces conserves, l’association demande à beaucoup de personnes de donner chacun au moins une boite.
Quelques associations de protection animales en font autant pour les croquettes et les réserves de litières comme notre amie Celia qui est bénévole auprès des chats errants depuis 20ans.
Les deux exemples cités à l’instant présentent comme inconvénient majeur de réquisitionner des bénévole le temps d’une permanence auprès du caddy de collecte. En conséquence de quoi, l’opération est ponctuelle. Les raisons de cet état des faits est un autre débat. Je soupçonne qu’un travail de communication en profondeur doit être mis en place pour faire évoluer les habitudes. Petit à petit les arguments « On a toujours fait ainsi» disparaitront. Ce sujet à longuement été developpé dans l’article « Impact du manque de communication en association«
Au final, peu d’associations utilisent le micro-don sous cette forme. C’est bien dommage !
Pour peu d’adapter le modèle à la vie actuelle, le potentiel est énorme pour trouver des fonds à une association.
Que diriez-vous d’appliquer ce principe à votre domaine d’activité ?
Etre créatif pour trouver des fonds à une association
La proximité et le relationnel ouvre les portes à votre imagination. A partir du moment où votre cause associative est alignée avec la sensibilité d’un commerce local, le micro-don devient un moyen régulier de trouver des fonds pour votre association.
* A la mercerie, une jolie corbeille reçoit « la pelote en plus » pour l’association qui tricote des plaids aux grands prématurés.
* Chez le primeur, une cagette cumule « le fruit ou le légume en plus » pour une association de maraudes (il y en a tellement !).
* Chez le quincailler, un carton prépare le chantier d’un local associatif
* Dans la boutique de mode, un portant présente les vêtements préparés pour un foyer de femmes battues.
* Le marchand de jouets empile les jeux et doudous qui rejoindront un orphelinat
* La fleuriste forme un « bouquet de fleurs en plus » pour égayer les tombes oubliées ou l’église.
La communication sur le capital cadeau
En termes de communication, la simplicité du message doit être votre priorité absolue. Evitez tout message flou. Le manque de précision «Donnez pour notre cause » ou « Nous avons besoin de vous » ne sont pas suffisamment impliquant.
Présentez le don en perspective avec l’achat.
« Achetez un paquet, passez une clope »
« Equipez-vous pour le ski, laissez un bonnet »
« Remplissez votre frigo, donnez un sandwich »
Bien sûr, ces messages sont plutôt culpabilisants parce que je force le trait. A vous de l’adapter à votre situation associative, selon votre activité et celle de l’entreprise partenaire du micro-don. C’est pourquoi je vous conseille de proposer un capital cadeau micro-don à forte visibilité immédiate.
En effet, voir le don des autres, incite les clients à donner aussi.
Rappelez-vous le central d’appel qui enregistre les promesses de don lors du téléthon. A défaut de passage télévisé, l’entreprise solidaire peut exposer le contenant des futurs cadeaux à la vue de tous. Bien évidemment, le café cadeau ne peut être matérialisé qu’à la dernière minute. Mise à part, ces rares cas, il est possible de trouver des solutions de communication visuelle convaincante. A cette fin, l’esthétique joue un rôle important. Sans oublier que l’emplacement doit tenir compte de la disposition du local.
=> Dans la vitrine joue coup double en présentant l’action aussi aux passants. Ceci est susceptible d’attirer les plus généreux d’entre eux à rentrer pour participer.
=> A l’intérieur mais juste après l’entrée donne l’information aux clients dès leur arrivée.
=> A côté de la caisse ou du comptoir leur permet de glisser leur participation une fois le paiement terminé.
Pour mettre en place une collaboration de micro-don
et valoriser cette action solidaire,
construisons ensemble votre plan de communication!
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Bienvenue à toutes les associations reconnues d’intérêt général qui veulent collecter des dons plus engagés !
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